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Consultant chargé(e) de l'évaluation du projet de riposte d'urgence contre la Covid 19


Pays: Cameroun
Region: Centre
Ville: Yaoundé
Employeur: UNESCO


Date limite : 21-08-2022


Description complète


Secteur de tutelle : Secteur de l'éducation (ED)



Lieu d'affectation: Yaoundé



Catégorie d'emplois: Ã‰ducation



Type de contrat : Consultant



Durée du contrat : 45 jours



Recrutement ouvert à : Candidats externes



Clôture des candidatures (minuit heure de Paris) : 21 Août 2022



 



Valeurs fondamentales de l’UNESCO : Engagement envers l’Organisation, intégrité, respect de la diversité, professionnalisme



 


RESUME DES FONCTIONS DU POSTE


 



        1.   Contexte



 



Le
Cameroun comme la plupart des pays en voie de développement a abordé
l’Agenda ODD4-Education 2030 avec d’énormes défis qui pèsent lourdement
sur son système éducatif.



Depuis
janvier 2020, la COVID-19 s’est propagée à travers le monde et a été
déclarée « pandémie » par l’OMS le 11 mars 2020. L’Afrique
Subsaharienne, longtemps épargnée, a déclaré son premier cas de Covid-19
le 27 février 2020 au Nigéria, et la pandémie s’est dès lors rapidement
étendue sur l’ensemble des pays d’Afrique.



 



Au
Cameroun, le premier cas a été enregistré le 06 mars 2020. Depuis le 06
avril 2020, le Cameroun était au stade 2 (transmission communautaire)
de la pandémie de COVID-19 dont l'objectif est de freiner la propagation
du virus sur le territoire. 



La
pandémie de la COVID-19 a révélé la fragilité de la plupart des
systèmes éducatifs du monde. Rares sont les pays qui ont véritablement
réussi à remédier à l’interruption massive des apprentissages du fait de
la fermeture des écoles et des universités et le Cameroun n’était pas
épargné par cette mesure.



Soutenant
les efforts internationaux pour contrer la propagation rapide de la
pandémie de la COVID-19, le Gouvernement du Cameroun a mis en place
plusieurs mesures restrictives sur les regroupements et les déplacements
de population incluant entre autres la fermeture de tous les
établissements scolaires et universitaires. L’entrée en vigueur de cette
décision gouvernementale le 18 mars 2020 a affecté la scolarisation de
7,2 millions élèves et étudiants inscrits dans les établissements
publics et privés implantés sur le territoire national dont environ 4,5
millions d’enfants du primaire avec 47% de filles.



L’impact
de la COVID-19 s'est accentué dans les zones déjà touchées par les
crises sécuritaires des régions du Nord-Ouest, du Sud-Ouest, de
l'Extrême-Nord, ainsi que de l'Est. Dans ces régions, on dénombre près
de 1,8 million d'enfants d'âge scolaire qui sont dans le besoin de
soutien d'urgence pour accéder à l'éducation, dans un contexte marqué
par les conflits armés, la violence, les inondations, le choléra et les
épidémies de rougeole.



 



Suite
à ce contexte de la pandémie du Covid-19 qui a été la source de la
fermeture des classes, le Gouvernement, en collaboration avec ses
partenaires et à travers le Groupe local des partenaires de l’Education
(GLPE ou LEG), a élaboré et adopté un plan national de riposte à
l’impact de la COVID-19 dans le secteur de l’éducation et de la
formation qui a suscité la conception de ce projet qui fait l’objet de
l’évaluation.



        2.   A propos du projet objet de l’évaluation



 



Ce
projet vise à assurer la continuité de l’éducation dans l'enseignement
de base (préscolaire, primaire et 1er cycle du secondaire général) pour
les élèves du public affectés par la crise de la COVID-19, préparer la
réouverture des établissements scolaires et l’organisation des cours
dans un environnement sanitaire sûr et protecteur et renforcer la
résilience du système éducatif face aux crises transformées en
opportunité.



 



Les objectifs spécifiques du projet se structurent autour des points suivants :



  • Assurer
    la continuité de l’éducation dans l'enseignement de base (préscolaire,
    primaire et 1er cycle du secondaire général) pour les élèves du public
    tout en favorisant l’accès équitable de tous les enfants et adolescents,
    garçons et filles, réfugiés, déplacés internes et vulnérables des zones
    défavorisées et les zones de conflits ;
  • Assurer
    la préparation de la reprise des cours et l’organisation des
    apprentissages au sein des établissements scolaires publics de
    l’enseignement de base (préscolaire, primaire et 1er cycle du secondaire
    général) dans un environnement sanitaire sûr et protecteur ;
  • Préparer la période post-crise COVID-19 à travers le renforcement de la résilience du système éducatif face aux crises ;
  • Assurer
    le suivi-évaluation des apprentissages et de la riposte contre la
    COVID-19 dans le secteur de l’éducation et de la formation.


 



Le projet est organisé autour de quatre composantes :



  • Composante
    1 : Continuité de l’éducation dans l’enseignement de base à travers la
    mise en place d’un dispositif multidimensionnel d’enseignement à
    distance ;
  • Composante
    2 : Préparation de la réouverture des établissements scolaires de
    l’enseignement de base dans un environnement sanitaire sûr et protecteur
    ;
  • Composante
    3 : Préparation de la période post-crise COVID-19 et renforcement de la
    résilience du système éducatif face aux crises ;
  • Composante 4 : Coordination et suivi-évaluation.


La
Coordination du projet est logée au bureau Régional de l’UNESCO à
Yaounde qui agit comme Agent Partenaire et met en Å“uvre les 3
composantes à l’exception de la Composante 2 intitulée « Préparation de
la réouverture des établissements scolaires de l’enseignement de base
dans un environnement sanitaire sûr et protecteur Â» qui est mise en
œuvre par l’UNICEF-Agence sœur à travers la signature d’un MOU avec
l’Agent Partenaire. 



Ensuite,
les partenaires clés du projet sont les Ministères de l’éducation de
base et celui des enseignements secondaires. Le budget total du projet
s’élève à 11,700,000 millions de dollars américains pour la période
d’octobre 2020 à septembre 2022.



 



        3.   Justification de l’évaluation



 



Conformément
au document du projet et à la politique du bailleur (PME), une
évaluation finale est requise pour examiner le degré de réalisation des
résultats escomptés. Cette évaluation devra aussi permettre de savoir
selon les critères d’évaluation de l’OCDE
la pertinence, l’efficacité, l’efficience, la durabilité et l’impact du
projet et pourra donner des recommandations et des pistes pour
développer d’autres horizons sur des nouveaux projets éventuels.



 



En
outre, l’évaluation permettra aussi de fournir les éléments nécessaires
pour montrer la contribution du projet à l’éducation à distance  d’une
part, et d’autre part de formuler des recommandations stratégiques et
pratiques issues des leçons apprises utiles à partager avec toutes les
parties prenantes y compris  le Gouvernement hôte au niveau central  (le
Secrétariat Technique de la stratégie sectorielle qui est l’entité
gouvernementale en charge de la coordination sectorielle de la mise en
Å“uvre et du suivi du plan national de riposte contre la COVID-19 dans le
secteur de l’éducation et de la formation), ses entités décentralisées,
les pays de la région, les bailleurs et les bénéficiaires.



        4.   Objectif de la demande d’évaluation.



 



Cette
évaluation finale a pour objectif général de faire le bilan des
réalisations accomplies et d’analyser les résultats atteints par le
projet sur la base des indicateurs initialement définis.
Elle
permettra de cerner l’efficacité de la riposte contre la COVID-19 dans
le secteur de l’éducation et de la formation et d’alimenter les systèmes
de gestion des connaissances.



 



Cependant,
elle permettra de déterminer le niveau de progrès réalisé dans
l’atteinte des objectifs du projet. Elle prendra en compte toutes les
activités programmées dans le document de projet. Elle examinera la
performance du projet et la mise en œuvre des activités prévues par
rapport aux résultats escomptés ainsi que les risques liés à l’atteinte
des résultats. Elle identifiera les actions correctives stratégiques et
formulera des recommandations pertinentes en vue des programmations des
futurs projets.



 



Pour ce faire, l'évaluation finale devra se concentrer sur ce qui suit :



  • Montrer
    dans quelle mesure la formulation du projet ainsi que l’approche
    utilisée sont pertinentes pour répondre aux besoins identifiés ;
  • Etablir
    les liens des réalisations avec les attentes du projet et leurs
    contributions aux axes stratégiques de l’UNESCO et aux piliers
    stratégiques de UNSDCF au Cameroun et ceux de la stratégie nationale et
    sectorielle à moyen terme ;
  • Évaluer
    la pertinence des livrables et des extrants prévus par rapport aux
    résultats telle qu’établie dans le cadre de résultats du projet ;
  • Analyser l'efficacité et l'efficience de la mise en Å“uvre du projet selon la formulation dans le document du projet ;
  • Identifier les leçons tirées de la mise en Å“uvre et de la gestion du projet ;
  • Déterminer si le projet atteint les résultats escomptés à la fin de sa mise en Å“uvre ; 
  • Identifier les défis, les leçons apprises et les recommandations pour éclairer les futures initiatives ;
  • Évaluer la communication autour des résultats dans le cadre des actions pour assurer la visibilité du projet ;
  • Apprécier
    la durabilité des résultats escomptés (renforcement institutionnel,
    appropriation du changement par les bénéficiaires) ;
  • Estimer
    le niveau d’appropriation des partenaires clés du projet, plus
    particulièrement le Gouvernement central et ses structures
    décentralisées, les cibles dans le chemin de la pérennisation des
    activités du projet ;
  • Montrer les impacts enregistrés dus à l’introduction de l’éducation à distance et le chemin vers sa pérennisation.


        5.   Critères d’évaluation.



 



Le
consultant devra appliquer les critères de l’OCDE/CAD, i.e. la
pertinence, l’efficacité, l’efficience, la durabilité et les impacts du
projet.



De manière pratique, l’évaluation devra accorder une attention particulière aux aspects ci-après :



  • La pertinence du projet et les approches liées à sa mise en Å“uvre et à sa gestion ;
  • L’état
    de la mise en œuvre des activités et le niveau de réalisation des
    résultats/objectifs prévus (objectifs, but et extrants) par rapport à
    l'exécution du budget et des délais ;
  • La pertinence des interventions du projet, en particulier la réponse aux crises dans le système éducatif ;
  • L’appropriation
    du projet par les autorités nationales sur le plan de ses orientations
    stratégiques et de sa mise en œuvre, les parties prenantes ;
  • Les impacts et la durabilité des activités qui ont été réalisées.           


            Analyse de la pertinence du projet.



  • Evaluer
    dans quelle mesure le projet se conforme aux priorités nationales de
    développement, sa contribution aux axes stratégiques de l’UNESCO, aux
    piliers stratégiques de UNSCDF au Cameroun et ceux de la stratégie
    nationale et sectorielle du Cameroun à moyen terme ;
  • Evaluer les réalisations qui contribuent à l’immédiat aux théories du changement ;
  • Evaluer
    dans quelle mesure les objectifs poursuivis dans le cadre de la riposte
    au Covid- 19 par le projet correspondent aux besoins et aux intérêts du
    système éducatif du pays ;


  • Evaluer dans quelle mesure les parties prenantes ciblées se sont approprié le projet ;
  • Évaluer
    la pertinence des nouvelles initiatives de riposte Covid-19 sur
    l’amélioration de la politique de l’éducation dans l’utilisation du
    système numérique.


            Analyse de l’impact.



La
mission évaluera aux plans quantitatif et qualitatif, l'impact des
activités réalisées dans la perspective de l’atteinte des quatre
résultats spécifiques du projet notamment :



  • La continuité de l’éducation dans l'enseignement de base (préscolaire, primaire et 1er cycle du secondaire général) ;


  • La préparation de la reprise des cours et l’organisation des apprentissages au sein des


Établissements
scolaires publics de l’enseignement de base (préscolaire, primaire et
1er cycle du secondaire général) dans un environnement sanitaire sûr et
protecteur ;



  • La
    préparation de la période post-crise COVID-19 à travers le renforcement
    de la résilience du système éducatif face aux crises ;
  • Le suivi-évaluation des apprentissages et de la riposte contre la COVID-19 dans le secteur de l’éducation et de la formation.


            Analyse de l’efficacité.



  • Évaluer
    le degré de réalisation effective des résultats (produits, effets et
    impacts) du projet par rapport au cadre des résultats définis dans le
    document de projet ;
  • Evaluer
    les réalisations des activités du projet sur le plan opérationnel et
    voir dans quelle mesure le respect de la planification a été
    assuré selon le contexte et donner des recommandations ;
  • Evaluer les facteurs contributifs à l’efficacité ou à l’inefficacité et faire des recommandations ;
  • Evaluer dans quelle mesure les résultats immédiats du projet se matérialisent ;
  • Evaluer les effets et impacts préliminaires du projet au niveau national ;
  • Evaluer
    le niveau d’opérationnalisation du système numérique, le logiciel en
    place, sa maitrise, son utilisation au niveau des bénéficiaires en amont
    et en aval pour s’assurer de son appropriation et sa pérennisation ;
  • Evaluer
    le niveau d’opérationnalisation des infrastructures et équipements WASH
    par les bénéficiaires pour s’assurer de son appropriation et sa
    pérennisation.


            Analyse de l’efficience.



  • Evaluer
    dans quelle mesure la structure du projet telle que décrite dans le
    document du projet a été efficiente dans l’obtention des résultats
    attendus ;
  • Evaluer dans quelle mesure il y a eu une utilisation économique (coût-efficacité) des ressources financières et humaines ;
  • Faire
    le point sur la situation des décaissements, la comparer aux
    réalisations et aux décaissements escomptés à la période/date de
    l’évaluation ; 
  • Evaluer
    et montrer les types d’obstacles (administratifs, financiers et de
    gestion) auxquels le projet a fait face dans sa période d’exécution et
    voir dans quelle mesure cela a affecté son efficience.




     Analyse sur le plan de la pérennisation/durabilité.



  • Evaluer le degré d’appropriation du projet par les bénéficiaires et les partenaires gouvernementaux ;
  • Evaluer dans quelle mesure les changements positifs intervenus dans le domaine vont continuer à l’avenir ;
  • Evaluer les capacités nationales au niveau de la maitrise d’œuvre et sa continuité dans l’avenir ;
  • Evaluer dans quelle mesure les capacités développées et/ou renforcées ont produit des effets ;
  • Evaluer le degré de complémentarité, la collaboration et la synergie entre les partenaires du projet et le système numérique ;
  • Identifier
    les facteurs positifs et négatifs susceptibles de contribuer à la
    durabilité ou à la précarité des réalisations du projet ;
  •  Evaluer les impacts des activités de formation et de renforcement des capacités du projet sur la pérennisation de ses acquis ;
  • Evaluer
    le cadre institutionnel en ce qui concerne sa capacité à prendre en
    main le maintien des acquis, en particulier, l’utilisation du système
    numérique, l’entretien des matériels et équipements mis à disposition ;
  • Évaluer
    le niveau des partenaires de mise en œuvre (points focaux ministériels
    et d’administrations publiques, les Inspections générales et les
    structures décentralisées, les établissements scolaires) à prendre en
    main le maintien des acquis.


            Evaluation liée à la Gestion.



  • Analyser
    les conditions d’entrée en vigueur, entre autres : les raisons du
    retard dans la satisfaction des conditions, la pertinence des conditions
    prévues, la situation des conditions non remplies ;
  • Faire
    une évaluation des performances de la cellule de gestion du projet du
    point de vue : personnel qualifié, supervision de l’exécution du projet,
    le respect des règles et procédures d’acquisition des biens,
    performance en termes de délais de passation des marchés et suivi du
    planning de passation des marchés.


 



            6. Méthodologie, approche.



 



L’évaluation
sera conduite par un consultant indépendant n’ayant été associé ni à la
formulation, ni à la mise en œuvre du projet. Un groupe de référence
sera mis en place pour s’assurer de la qualité des résultats de
l’évaluation et de la participation de toutes les parties prenantes. Le
Groupe de référence sera impliqué dans toutes les étapes de l’exercice
(revue du rapport initial, rapport provisoire, discussions des
conclusions et recommandations du rapport final, etc.). Le consultant
doit recourir à toute la panoplie d’outils disponibles pour collecter et
analyser les informations pertinentes pour l’évaluation. La
méthodologie devra se baser, en particulier sur :



  • Briefing
    avec l’UNESCO et les partenaires clés notamment UNICEF, Ministères de
    l’éducation de base et des enseignements secondaires ;
  • La
    revue et l’étude de la documentation clé (rapports d’avancement et
    d’évaluation du projet, études et informations financières, rapports de
    consultations, etc.) ;
  • Les rencontres et entretiens avec les bénéficiaires et acteurs concernés, les partenaires, les personnes ressources ;
  • Les questionnaires individuels ou de groupe ;
  • Les
    techniques participatives ou toute autre méthode de collecte de
    l’information pertinente, y compris les méthodes non traditionnelles
    avec recours aux moyens du mobile ;
  • L’exploitation et l’analyse des informations collectées en vue de la production du rapport.


            7. Livrables et procédures de la revue.



 



Les produits attendus de l’évaluation comportent les éléments suivants :



  • Un
    rapport de démarrage (rapport initial) à présenter en une réunion de
    démarrage avec le commanditaire de la mission. Ce rapport devra
    détailler la méthodologie de l’évaluation incluant la collecte de
    données, les outils et méthodes, y compris matrice de l’évaluation, qui
    seront utilisés dans le cadre de l’évaluation. Il comportera le
    chronogramme détaillé. Ce rapport sera revu après la réunion de cadrage.
    Le rapport de démarrage offre, entre autres, une opportunité de
    vérifier que le consultant partage la même compréhension de l’évaluation
    que le commanditaire ;
  • Un
    rapport provisoire de l’évaluation qui sera soumis à l’UNESCO et
    comprendra les conclusions préliminaires ainsi que des recommandations
    après les rencontres et entretiens avec les acteurs concernés, les
    partenaires techniques et les personnes ressources ;
  • Un
    rapport final d’évaluation à soumettre après la réunion de restitution
    et intégration des commentaires. La version finale du rapport, en
    versions française et anglaise, en format électronique et en quatre (4)
    copies dures sera transmise au commanditaire. Il comportera
    obligatoirement un résumé, une analyse des conclusions et des
    recommandations, une section des enseignements tirés ainsi qu’une
    section sur la méthodologie et en annexes, les termes de référence de
    l’évaluation, la liste des personnes et structures rencontrées, les
    formulaires des outils de collecte de données ainsi que les références
    bibliographiques ;
  • Le
    (la) Consultant (e) devra faire une présentation PowerPoint résumant
    les principaux constats, conclusions et recommandations issus du rapport
    d’évaluation pour la réunion de restitution avec l’UNESCO et les autres
    partenaires.

COMPETENCES (Fondamentales / Managériales)


Responsabilité (F)
Communication (F)
Innovation (F)
Partage des connaissances et volonté constante d’amélioration (F)
Planification et organisation (F)
Culture du résultat (F)
Travail en équipe (F)
Professionnalisme (F)


Pour plus d’informations, merci de consulter le Référentiel des compétences de l’UNESCO.

QUALIFICATIONS REQUISES


 



Education :



  • Au minimum, Master (BAC+5) en Sciences de l’Education, Planification de l’éducation, Gestion des projets.


 



Experience:



  • Le
    (la) Consultant (e) doit avoir une expérience solide en matière
    d’élaboration, de planification, de mise en œuvre et d’évaluation de
    programmes /projets liés à l’éducation ;
  • Solide expérience en matière d’évaluation du système d’éducation en situation d’urgence ;
  • Expérience confirmée de l'évaluation de programmes et de projets pluriannuels et comportant plusieurs volets ;
  • Capacité à traiter de grandes quantités et divers ensembles de données et documents liés au système éducatif ;
  • Avoir déjà conduit des missions d’évaluation de projets/ programmes similaires ;
  • Excellentes
    capacités de rédaction et de communication en Français, notamment dans
    le cadre d’approches participatives, multisectorielles et
    pluridisciplinaires.

PROCESSUS DE SÉLECTION ET DE RECRUTEMENT



Veuillez
noter que tous les candidats doivent remplir une demande en ligne et
fournir des informations complètes et exactes. Pour postuler, veuillez
visiter le site Web de l'UNESCO carrières. Aucune modification ne peut être apportée à la candidature soumise.



L'évaluation
des candidats est basée sur les critères de l’avis de vacance de poste
et peut inclure des tests et/ou des évaluations, ainsi qu'un entretien
basé sur les compétences.



  L'UNESCO
utilise des technologies de communication telles que la vidéo ou la
téléconférence, la correspondance par e-mail, etc. pour l'évaluation des
candidats.



Veuillez
noter que seuls les candidats sélectionnés seront contactés et que les
candidats à l'étape de sélection finale seront soumis à une vérification
des références sur la base des informations fournies.




L’UNESCO rappelle que la
considération dominante dans le recrutement du personnel doit être la
nécessité d’assurer à l’Organisation les services de personnes possédant
les plus hautes qualités de travail, de compétence et d’intégrité.
L’UNESCO applique une politique de tolérance zéro à l’égard de toute
forme de harcèlement. L’UNESCO s’est engagée à atteindre et à maintenir
une répartition géographique équitable et diversifiée, ainsi que la
parité des genres parmi les membres de son personnel dans toutes les
catégories et à tous les niveaux. En outre, l’UNESCO est résolue à
atteindre une diversité de personnel sur le plan du genre, de la
nationalité et de la culture. Les candidatures de ressortissants d’États
membres non et sous-représentés (veuillez cliquer ici pour la dernière mise à jour)
sont particulièrement bienvenues et vivement encouragées. Les personnes
issues de groupes minoritaires et de groupes autochtones, ainsi que les
personnes handicapées, sont également encouragées à postuler. Toutes
les candidatures seront traitées avec la plus grande confidentialité.
Une mobilité mondiale est requise pour les membres du personnel nommés
sur des postes internationaux.



L’UNESCO ne prend de frais à aucune étape du recrutement.




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